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En écrivant ma vie
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9 septembre 2010

Si les mères...

Si les mères savaient écouter leurs enfants
Elles entendraient leur cœur pleurer silencieusement
Elles verraient leurs erreurs creuser des océans
Des océans de peurs et d'amour sûrement

Si les mères savaient écouter leurs enfants
Elles apprendraient leur vie se faire doucement
Elles connaîtraient leurs craintes grandissant l'océan
Cet océan de vie et d'effroi par moment

Si les mères savaient écouter leurs enfants
Ils en seraient heureux et vivraient autrement
Les chagrins et les craintes qu'ils ont adolescents

Ils trouveraient peut-être la voie qui les attend
Mais les mères ne savent pas écouter leurs enfants
Et c'est pour ça qu'ils pleurent ensemble silencieusement

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Commentaires
E
ps puis j'ai toujours eu du mal avec les poèmes monorimés. La monotonie s'installe vite.
E
Rien n'est plus difficile que d'être parent ! je le dis avec d'autant plus d'aisance.. que je ne le suis pas.<br /> <br /> Je sais bien que tu attends de ton lecteur qu'il procède de lui-même aux élisions des nombreux e gênants, lors de sa lecture, et que tu préfères écrire des alexandrins oraux.<br /> Cela dit, le dernier tercet reste problématique, même si l'on opère ces élisions, la prononciation est très difficile, et toute la musique qu'on s'est imposé d'entendre, est anéantie d'un coup : il faudrait, je crois, attaquer le premier vers de ce tercet par "Peut-être etc. ...", et trouver, au dernier vers, un autre adverbe que "silencieusement" : le vers se prolonge trop.<br /> <br /> Allez sans rancune, je me venge de ta remarque au sujet d'un vers d'un de mes poèmes... Je plaisante ! ;-)
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